Michou palmée, c’est tout le Gan Rachi d’hier à aujourd’hui, de la rue Francisque Sarcey à l’impasse Suzanne Lenglen qui se met à briller dans la cité.
Pour nous élèves, nous parents, nous enseignants, le Gan Rachi se pose là comme un phare qui éclaire les contours des distinctions à opérer entre les dimensions spirituelle et profane et qui peut apprendre à des enfants à intégrer ces registres dans une vie réussie en conformité avec les principes de la vie en République comme fidèlement à la Loi de nos Pères.
C’est avec juste ce qu’il faut de rigueur et beaucoup de passion que Michèle Beck, Michou, nous a enseigné Pépin le bref, le Petit Prince mais aussi le mystère du grenier où sommeille le Golem à Prague.
Au Gan Rachi, la transmission du savoir se place dans la rencontre et l’alliance entre les mondes, les cultures et les histoires avec petit et grand H.
Dans « la classe de Michou » nous apprenions les bases de nos savoirs et le goût de la fraîcheur d’apprendre toute sa vie…
Joanne Ankri, ancienne élève et enseignante du Gan Rachi.